
*Nouveau directeur général de la Société Africaine de Construction et d’Asphalte(SAFRICAS) Bavon Banza est ce génie qui a ressusciter une entreprise du bas de l’échelle jusqu’au sommet*_
Le nouvelle touche de Bavon Banza change tout à la SAFRICAS
Souvent résilié et très retenu, Bavon Banza a réussi a séduire par la qualité du travail apporter au seins de la SAFRICAS.

Il a susciter la curiosité de nos confrères du Grand Journal qui sont aller jusqu’à sa recherche et on réussit a lui faire parler Une interview a coeur ouvert avec Bavon Banza.
Qui est Bavon Banza ?Pour commencer l’homme a décrit son profil

Bavon est licencié en Gestion d’entreprise avec une formation supplémentaire en Génie Civil spécialement dans le terrassement,
Directeur Régional de la Safricas Grand Katanga et entrepreneur multi sectoriel,
ancien superviseur senior à TFM, Tenke Fungurume mining (Section TSF, section tellys dump),
avant de rejoindre MCSC (Mining Compagnie Service Congo) de 2014 à 2016,
en qualité de manager des operations, puis, de 2016 à 2018,
DG et propriétaire de l’entreprise BBT Sarl, (Best Born of Technical).
De 2018 à 2019, Conseiller principal du ministre provincial de l’emploi,
travail et prévoyance sociale dans le gouvernement du haut-Katanga).
Du 16 novembre 2020, à nos jours Project Manager safricas Grand Katanga (directeur régional).
A son arrivée a la tête de safricas comme Directeur Général de la Safricas KATANGA,
Bavon constate que les défis à réléver pour cette entreprise
qui employait plus de 1200 agents dans le grand Katanga étaient non importants
mais aussi nombreux.La mauvaise gestion de l’administration avais créé une situation
telle que l’entreprise ne faisait que perdre ses marchés et ses partenaires s’en méfier davantage.
Les salaires des agents étaient réduits à 50%, mais les arriérés s’étaient accumulés.
L’entreprise était quasi en faillite et a bord de agonie.En effet pour changer la situation,
la nouvelle administration s’est fixer des objectifs clairs,
d’abord commencer par rétablir de l’ordre au sein de l’administration,
redonner confiance aux agents en remontant leurs salaires a 100%.
Le nouveau leadership s’est donné les moyens de sa politique
à partir des activités de construction des routes,
terrassement, location des engins et bien d’autres.

“Nous avions trouvé à la safricas qui était jadis dans les oubliettes,
nous nous sommes concentrés sur ça en cherchant des marchés
de gauche à droite et aujourd’hui après tous ses efforts consentis,
le pari est gagné à 80% et cela à plus d’impact direct
et significatif sur la situation socio-économique de la population.
Ainsi, pour ne pas connaitre les mêmes sorts subis dans les années antérieures,
en tant qu’entrepreneur multi sectoriel, nous envisageons accroitre
des activités dans plus ou moins quatre domaines,
à savoir, ferme, mine, hébergement et hospitalier, santé.
“,a déclaré Bavon Banza.
A l’en croire, un bon leader est celui qui sait bien s’entourer.
En tant que leader, pour reussir sa vision en matière de gestion publique,
il faut savoir que le succès decoule d’un travail d’équipe.
Dans ce contexte, l’une des qualités d’un bon gestionnaire,
c’est qu’il doit savoir bien s’entourer, savoir bien apprécier les autres.
Il faut savoir constitutuer des équipes performantes,
connaître la recette d’une équipe de rêve, connaître ses besoins,
être réaliste, savoir miser sur les forces de chacun et les optimiser,
miser sur la diversité et la complémentarité, avoir un bon sens politique,
avoir du sens politique.
“Il faut d’abord faire la distinction entre « faire de la politique» et « avoir le sens politique »
(et vous seriez surpris du nombre de gens qui ne font pas cette distinction !)
Avoir le sens politique, c’est de dire et faire des choses
qui sont en harmonie avec les convictions,
mais aussi tenir compte des usages considérés comme acceptables.
C’est repérer, comprendre et prendre en considération
les enjeux propres à un milieu organisationnel donné.
L’une des qualités d’un bon gestionnaire est de choisir l’endroit
et le moment opportun pour communiquer ses messages avec le minimum de bruit possible,
de lire les signes non-verbaux, et d’adapter son approche à la situation et à l’auditoire,
prendre de bonnes décisions au bon moment,
la prise de décision est une condition essentielle au leadership
La résultante des choix et décisions d’un gestionnaire peut devenir,
et plus souvent qu’autrement deviendra , la cause de leur réussite ou de leur échec.
” A-t-il souligné.Selon lui, il n’y a pas d’avenir dans jeunesse,”
le développement d’un pays ne se fonde pas seulement sur la politique ou l’économie,
mais aussi sur sa capacité à assurer la relève par la jeunesse.
La République Démocratique du Congo (RDC) étant un pays
avec une population à majorité jeune, se doit de bien préparer cette jeunesse afin de lui permettre
de servir dignement son pays et de la faire émerger sur tous les plans.
Les entreprises et investisseurs désireux d’écouler leurs produits en RDC
se doivent de bien connaître les motivations et attentes des jeunes congolais
pour mieux élaborer une stratégie de conquête et/ou pénétration du marché.
C’est ainsi que nous demandons à la jeunesse congolaise de prendre conscience,
de ne pas se laisser instrumentaliser par les politiciens, de ne pas consommer de liqueur forte,
éviter d’être délinquant car c’est la jeunesse qui est l’avenir de la RDC.”
a-t-il renchérit Entant que leader, Bavon Banza a également donner
son avis sur l’égalité l’homme et la Femme.

Pour savoir s’il y avais la possibilité de supprimer la dite au nom de cette égalité il a déclaré :
“on ne peut dire, plus claire, mais aussi courageuse:
“Pendant des siècles, le statut social et juridique des femmes reste inférieur,
y compris (et surtout) au sein de la famille.
Si le principe de l’échange des consentements repose sur l’égalité des époux,
une fois mariée, la femme passe et demeure sous l’autorité de son mari.
Quel que soit le régime matrimonial.
La dot est une vieille tradition africaine et qui est toujours pratiquée
comme c’était le cas il y a des siècles.
Plus qu’un préalable, elle est d’une importance capitale et incontestée à telle enseigne
que la famille du marié et de la mariée engagés
dans cette voie serait scandalisée à l’idée de ne pas adhérer à cette coutume.
Pour le non initié, la dot est un procédé de négociation complexe
et très formel entre les deux familles pour parvenir à une entente mutuelle sur le prix
que le fiancé aura à verser pour pouvoir épouser la fiancée.
Cela peut se voir comme un achat ou une vente,
mais cette coutume n’a rien de commercial.
Ce qui rend la dot si importante pour le mariage en Afrique est
qu’elle est synonyme d’union de deux familles.
Le respect mutuel et la dignité sont présents tout le long du procédé,
et l’amour entre l’homme et la femme est élargi pour y inclure la famille proche et large.
Ce qui confirme même l’autorité de l’homme sur la femme. Il est très nécessaire de la maintenir.”
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Ashton Shane ILUNGA
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