
*La mort d’un jeunes étudiants congolais en Inde
ne cesse de susciter des réactions*

Le vice-ministre des Affaires étrangères Samy Adubango Awoto avait reçu
la famille de Joël, l’étudiant congolais mort en Inde dans un centre de détention.
Joël Malu, originaire de la République Démocratique du Congo, âgé de 27 ans,
a été interpellé dimanche dernier par la police Indienne
pour possession d’une petite quantité de pilules d’ecstasy
qui est une drogue illégale dans tous les pays du monde.
Largement répandue depuis quelques années,
elle est également connue sous le nom de MDMA.
En plus d’être hors la loi, les consommateurs d’ecstasy
s’exposent à une multitude de dangers.
La douloureuse nouvelle du décès de l’étudiant Joel Malu Shindani émeut
non seulement sa famille à Kinshasa mais aussi une partie de la communauté africaine
dans la ville de Bangalore, où le drame est survenu.
Les ressortissants africains vivant en Inde ont marché ce lundi
pour dénoncer le racisme dont sont victimes les africains en Inde.
Criant au racisme, la communauté africaine de la ville,
mobilisée par un groupe dénommé “Fédération panafricaine”,
a organisé une manifestation suite à laquelle au moins six ressortissants
de pays africains ont été blessés dans des échauffourées avec la police.
Les manifestants et la famille du jeune étudiant continuent de rejetter
les allégations de la police qui affirme que Joël Malu
serais mort d’un arrêt cardiaque même si l’étudiant avait
auparavant été diagnostiqué comme souffrant de bradycardie.
Plusieurs tentives de la police pour le réanimer ranimer furent vaines,
selon les sources concordantes.
Ces ressortissants africains ont organisé une manifestation devant
le commissariat de police et se sont bagarrés avec des policiers.
Ils ont réfutés l’affirmation de la police
selon laquelle Joel Malu était mort d’un arrêt cardiaque
et l’ont accusés de l’avoir détenu à tort. La police a fait usage de matraques
pour repousser les manifestants et en a arrêtés une douzaine.
La police a ajouté avoir ouvert une enquête sur ce décès.
Il sied de noter que les ressortissants des pays africains accusent souvent
la police indienne de harcèlement et du racisme car beaucoup d’entre eux
affirment qu’ils sont régulièrement été détenus sur la base de fausses accusations
de trafic de drogue et qu’ils sont quotidiennement victimes de discrimination.
Les manifestants ont réfuté l’affirmation de la police
selon laquelle Joël Malu était mort d’un arrêt cardiaque
et ont accusés de l’avoir détenu à tort. La police a fait usage de matraques
pour repousser les manifestants et en a arrêtés une douzaine.
La police a ajouté avoir ouvert une enquête sur ce décès,
alors que l’étudiant vivait illégalement en Inde
après l’expiration de son passeport et de son visa en 2017.
Les ressortissants des pays africains accusent souvent
la police indienne de harcèlement et de racisme.
Nombre d’entre eux affirment qu’ils sont régulièrement détenus
sur la base de fausses accusations de trafic de drogue
et qu’ils sont quotidiennement victimes de discrimination.
Signalons que ces événements malheureux nous rappel
ceux d’Afrique du Sud l’année dernier.A la suite de la xénophobie,
les magazines sud africain avait été sérieusement pillé a Lubumbashi.
En effet, le consulat d’Afrique du Sud et un magasin sud-africain
ont été attaqués jeudi à Lubumbashi,

deuxième ville de la République démocratique du Congo,
en marge de manifestations contre les violences xénophobes
à Johannesburg et dans d’autres villes.
Plusieurs dizaines de personnes s’étaient rassemblées
devant le consulat d’Afrique du Sud à Lubumbashi (sud-est)
à l’appel de certaines ONG.
Des manifestants avaient ensuite caillassé les vitrines du consulat
avant de vouloir forcer l’entrée au seins du consulat.
Un magasin de l’enseigne MRP/Mister Price avait ensuite été pillé
et les vidéos avaient fait le tour des réseaux sociaux.
Lubumbashi etant devenu l’épicentre des représailles,
les indiens ont jugé par précaution de rester fermé
jusqu’a chèque l’Etat garantisse une bonne sécurité,
nous a confié un sujet indien.
Ceux qui avaient tenté d’ouvrir ce matin ont été sérieusement menacé
avant que la police i terrienne avec des gaz lacrymogènes pour disperser la foule.
Les autorités de la ville ont appeler la population au calme
et a la retenus car disent-ils on ne règle pas la violence par la violence.
Il demandent en outre a la population de laisser les Indiens vaguer
librement a leurs affaires car le gouvernement congolais
est en collaboration avec le gouvernement Indien pour trouver le coupable
afin qu’il réponde de ses actes.
Signalons que plusieurs congolais ont été tué en Inde
et en Chine depuis le début des années 2008,2009,
certains ont subit la justice populaire pour leur race
et d’autres tués pour des allégations.
Pendant ce temps plusieurs autres restent incarcéré dans des prisons indiens
et chinois apprent-ont des certaines Sources
_*La police indienne accusée de harcèlement et de racisme.*_
Les événements malheureux qui persistent en Inde
nous pousse a fouiner et i terrier l’histoire,
nous nous souviendrons qu’en 2017,
des étudiants africains ont été attaqués
et battus par la foule dans la ville de Grand Noida,
accusés de vendre de la drogue.
Mais le racisme en Inde est parfois institutionnel.
En 2014, le ministre de la Justice de l’Etat de Delhi,
Somnath Bharti avait pris la tête d’une descente de nuit,
agressant physiquement et humiliant un groupe de femmes congolaises
et ougandaises à Khirki, accusés “d’activités immorales et illégales”.
Face toutes ces atraucités l’écrivaine et scénariste d’origine indienne
Arundhati Roy dénonçait en 2020 le racisme en ces termes le racisme en Inde.
“Si vous regardez des films de Bollywood, vous imaginez que l’Inde est un pays de blancs.
Le racisme indien envers les Noirs est presque pire que le racisme des Blancs.
Et parfois, cela vient de personnes dont la couleur de peau n’est vraiment pas très différente.
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